Introduction
Il est 6 h 12 quand Denis Charvet pousse la porte de son appartement parisien. Le ciel est encore violet, les rues sont presque vides. Dans sa main droite, un carnet usé aux coins, dans la gauche, un café brûlant qu’il boit à petites gorgées.
Pour la plupart des gens, ce moment est encore celui du sommeil. Pour Denis Charvet, c’est déjà le deuxième de la journée. Car avant d’attaquer ses projets, il a pris le temps de courir cinq kilomètres le long de la Seine. Pas pour battre un record, mais pour « mettre le corps au diapason de l’esprit », comme il aime à dire.
C’est ainsi que commence cette journée avec lui, une immersion qui révèle bien plus qu’un simple parcours professionnel : la mécanique intime d’un homme animé par une passion constante.
L’aube de la passion
Denis Charvet n’a jamais aimé traîner au lit. « Les idées arrivent tôt », sourit-il, en consultant son carnet. Dedans, des mots griffonnés, des croquis, des schémas. Pas de code couleur, pas d’ordre strict — un chaos organisé qui, curieusement, fonctionne parfaitement.
Ce besoin de noter tout ce qui lui traverse l’esprit remonte à l’enfance. Né dans une petite ville du Sud-Ouest, il passait ses matinées à observer les gestes précis de son père menuisier, et ses après-midi à écouter sa mère raconter des histoires aux enfants de l’école. Entre les copeaux de bois et les contes, Denis Charvet a compris que chaque détail compte, et qu’aucune idée ne doit se perdre.
Les premiers pas dans l’action
Vers 9 h, Denis Charvet est déjà au téléphone avec un collaborateur d’un autre fuseau horaire. Il parle vite, mais jamais dans la précipitation. Les phrases sont claires, les décisions nettes.
Ce rythme, il l’a appris lors de ses premières années, quand il fallait tout faire à la fois : trouver des financements, convaincre des partenaires, et prouver que son projet avait du sens.
Il raconte souvent une anecdote : « La première fois que j’ai dû présenter mon idée devant un investisseur, j’ai oublié mon dossier. J’ai improvisé sur un tableau blanc… et c’est ce jour-là que j’ai compris que la conviction compte plus que les slides. »
Le cœur de la matinée : bâtir

À 10 h 30, nous arrivons dans un espace de coworking où Denis Charvet loue un bureau. L’endroit est lumineux, les murs sont couverts de post-it et de cartes d’idées. Ici, il se consacre à ses projets phares : mentorat pour jeunes entrepreneurs, développement d’initiatives solidaires, et mise en réseau d’acteurs locaux.
Chaque conversation avec lui ressemble à un puzzle qui s’assemble. Il parle d’un projet en Espagne, rebondit sur une idée en Afrique de l’Ouest, puis revient à une application en cours de test.
Ce qui frappe, c’est sa capacité à relier des univers qui ne se connaissent pas. « Le plus grand gaspillage du monde, c’est celui des idées qui ne se rencontrent pas », lâche-t-il entre deux mails.
La pause qui n’en est pas une
À midi, Denis Charvet propose d’aller déjeuner dans un petit bistrot qu’il fréquente depuis des années. Le patron le salue par son prénom. Ici, il n’ouvre pas son ordinateur, mais prend des notes sur une serviette en papier.
Il parle peu de lui. Ce qui l’intéresse, ce sont les histoires des autres : un serveur qui veut monter un food-truck, une étudiante qui hésite à se lancer dans la photo. Il écoute, pose des questions, et offre parfois un contact ou une piste.
« L’inspiration est une monnaie qu’il faut faire circuler », dit-il en reposant sa tasse de café.
L’après-midi des décisions
14 h. Retour au bureau. C’est le moment où il tranche. Sur son écran, trois propositions de partenariat. Il lit tout, relit, puis appelle directement les porteurs de projet. Pas de mails interminables. Les décisions sont prises à voix claire.
Cette efficacité, il l’explique simplement : « On peut passer sa vie à réfléchir, mais si on ne décide pas, rien n’avance. »
Sa méthode est presque militaire : évaluer vite, décider, et ajuster en cours de route. Mais jamais au détriment de l’éthique. Il refuse un partenariat lucratif car l’entreprise en question ne respecte pas certains critères sociaux. « Ce que tu acceptes définit qui tu deviens », souffle-t-il.
Les engagements au-delà du bureau
À 16 h, Denis quitte l’espace de coworking pour rejoindre une association qu’il soutient depuis cinq ans. Dans une salle modeste, une douzaine de jeunes travaillent sur un projet collectif. Denis Charvet ne vient pas en donneur de leçons, mais en participant actif.
Il s’assoit, discute, prend un feutre et note au tableau. Les idées fusent, les rires aussi. Certains jeunes n’ont pas encore confiance en eux ; il les encourage, sans jamais imposer ses choix.
« Mon rôle, c’est de créer l’espace pour que leurs idées respirent », explique-t-il.
En fin de journée : le recul
18 h 30. Le soleil décline. Denis Charvet s’installe sur un banc au bord d’un canal, son carnet sur les genoux. Il relit ses notes du jour, rature, entoure, ajoute des flèches. C’est un rituel. « On ne retient pas la moitié de ce qu’on vit si on ne le réécrit pas », dit-il.
Il m’avoue que c’est souvent à ce moment-là que naissent ses meilleures idées. Un mot entendu dans la rue, une image aperçue par la fenêtre, et le lien se fait.
La soirée des passions
À 20 h, Denis Charvet retrouve des amis pour une répétition musicale. Guitare à la main, il joue des accords simples, sourit, improvise. La musique est pour lui un autre langage, un espace où l’on peut exprimer ce qui ne passe pas par les mots.
Entre deux morceaux, il raconte un souvenir de voyage : un soir d’orage en Asie, bloqué dans un village, il avait joué avec des musiciens locaux sans partager la même langue. « Ce soir-là, j’ai compris que certaines rencontres dépassent tout ce qu’on peut planifier. »
L’héritage en construction
Ce qui ressort de cette journée, c’est que Denis Charvet ne sépare jamais le personnel du professionnel. Chaque interaction, chaque projet, chaque idée contribue à ce qu’il appelle « construire un héritage vivant ».
Il sait que l’influence ne se mesure pas seulement en résultats chiffrés, mais aussi en inspiration transmise, en liens créés, en confiance donnée.
Conclusion
De l’aube active à la musique du soir, la journée de Denis Charvet est une illustration concrète de ses valeurs : agir, relier, transmettre.
Son parcours est moins une ligne droite qu’un réseau d’expériences interconnectées. Et c’est peut-être là que réside sa véritable force : ne jamais s’arrêter, mais toujours avancer dans la direction qui a du sens.
FAQ
1. Qui est Denis Charvet ?
Un entrepreneur et mentor passionné, connu pour ses projets innovants et son engagement humain.
2. Qu’est-ce qui distingue le parcours de Denis Charvet ?
Sa capacité à relier des idées, des personnes et des domaines pour créer des solutions concrètes.
3. Quelles sont ses valeurs clés ?
L’éthique, la transmission et la cohérence entre parole et action.
4. Quels projets mène-t-il actuellement ?
Programmes de mentorat, initiatives solidaires, actions en faveur de l’économie circulaire.
5. Pourquoi son approche inspire-t-elle ?
Parce qu’elle prouve qu’on peut réussir en restant fidèle à ses principes.